La fête de l’Incarnation : un moment de partage et de fraternité
« J’écouterai le cri de la terre et des pauvres. »

Jeudi 19 décembre 2024, le séminaire Notre-Dame de l’Espérance a fêté l’Incarnation de notre Seigneur. Cette édition 2024 a pris une teinte remplie de fraternité et d’espérance afin de rejoindre notre thème d’année : j’écouterai le cri de la terre et des pauvres. Ainsi, nous avons invité des personnes membres de l’association Magdalena qui accueille sur Orléans des personnes en situation de précarité.
Un beau moment de fraternité a permis de faire travailler l’ensemble des séminaristes, des prêtres de la maison et du personnel pour pouvoir accueillir le Christ, non seulement dans le nouveau-né, mais surtout dans nos frères et sœurs les plus démunis. L’ensemble de la soirée a été ponctué de nombreux temps forts. La communauté élargie par les invités, s’est retrouvée dans un premier temps à la chapelle pour une veillée de prière puis nous avons prié les vêpres présidées par notre évêque Mgr Jacques Blaquart. De nombreux chants sont venus ponctuer cette veillée, animée par l’ensemble de la communauté mais aussi par la schola du séminaire. J’ai pu y constater une véritable atmosphère de prière qui, je pense, a porté nos invités.
La soirée s’est poursuivie autour d’un apéritif festif (sans alcool), puis d’un repas convivial qui avait été préparé par notre cuisinière Julia, ainsi que par les séminaristes. Toute la maison a mis la main à la pâte afin de permettre la réussite de cette soirée. Cette fête de l’Incarnation étant aussi une fête de partage, c’est avec un cadeau que l’ensemble de la communauté élargie a pu vivre ce moment festif. C’est autour d’un bon repas que la soirée s’est prolongée, ponctuée par des animations préparées par les séminaristes. Deux sketchs et un quiz sont venus animer cette soirée. Celle-ci s’est terminée aux alentours de 23h dans une joie profonde et partagée par tous.
S’en est suivi la vaisselle et un after proposés par le recteur pour fêter l’Incarnation comme il se doit avant de partir en mission dans nos paroisses respectives.
Je ne saurais dire quel moment de la soirée à été le plus important pour moi, car tout ce temps vécu avec et au service de nos frères et sœurs les plus démunis a été un véritable signe de la Charité du Christ.
Maxime REMY, diocèse de Metz, 1e année